Congrès à Yamoussoukro: est-ce un esprit nouveau pour la renaissance de la Côte-d’Ivoire ?

Wait and see.

Le congrès s’est tenu à Yamoussoukro, le vide institutionnel est comblé sur un bon ton, dans une ambiance bon enfant que les Ivoiriens souhaitent avoir et voir tout le temps.
Malin qui dira la suite avec une certitude absolue.
La Côte-d’Ivoire vient d’avoir un vice-président conformément à la constitution.
Cela fait deux ans que ce poste est resté vacant.
Espérons que l’espoir que cela suscite sera bien à la hauteur de l’attente.

Est-ce à dire que c’est un nouveau départ qui augure une prise de conscience pour aller résolument à la paix si chère au Père fondateur FHB ?

En effet, les différentes visions politiques ne peuvent pas et ne doivent en aucun cas pas être source de divisions donc de conflits potentiel qui endeuillent lors de chaque élection.
Il est donc temps de mettre fin à ce cycle infernal.

Est-ce que la fumée blanche de la réconciliation pour la paix durable est sortie ?

Rien n’est moins sûr, il faut attendre pour voir si les bons actes vont suivre le beau discours et de la belle parole donnée.

Il ne faut pas non plus être pessimiste pour jeter l’eau sale du bain avec le bébé.

Il est vrai qu’en politique, les promesses n’engagent que ceux qui les prennent pour argent comptant.
Toujours est-il que,
Il n’en demeure pas moins que même si c’est légitime de douter parce que c’est du déjà vu, il faut parfois laisser le bénéfice du doute pour avancer ensemble. Sait-on jamais, peut-être que cette fois-ci, peut être la bonne.

Comme certains honorables députés de l’opposition le disaient, on attend de voir ces bonnes intentions.

Cela se confirme par les consignes du chef de l’état à l’issue du conseil des ministres qui a suivi le congrès dé Yamoussoukro , du gouvernement 2 de Patrick ACHI.

Qu’il me soit permis de rêver que la Côte-d’Ivoire embauche le souhait de tourner définitivement dos à la violence et à la mauvaise gouvernance récurrentes, qui gangrènent depuis bientôt 4 décennies notre patrie.

Cela mérite d’être encouragé, ces bonnes initiatives.

Car, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas.

Cette volonté d’utiliser le bon ton dans l’humilité de l’exercice du pouvoir d’état , avec le peuple pour le peuple, est la meilleure manière du mieux vivre ensemble qui doit nous guider en tout temps, en toutes circonstances, et en tout lieu, pour tenir parole par rapport à notre engagement promis à l’humanité d’être un modèle en bonne place dans notre Abidjanaise.

On dira bien ici, qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, ce qui nous tenterait de dire, sacrés et fiers Ivoiriens.

Mais, pour ce faire, la volonté seule ne suffit pas.
Cela suppose de prendre des mesures concrètes pour satisfaire les revendications et requêtes dans beaucoup de domaines mais surtout , et en particulier, la transparence dans toutes les élections et encore particulièrement, l’instauration de l’état de droit et de la démocratie.

Les Seuls gages pour donner un sens vrai, à la bonne gouvernance et à faire la politique avec le peuple pour le bien être du peuple pour ainsi consolider la stabilité nécessaire, pour le développement harmonieux et radieux.,
dans la confiance réciproque retrouvée.

On se demande si c’est un rêve où , une réalité, quand le chef de l’état lors du congrès, a félicité ses deux prédécesseurs dans leur engagement pour ramener la paix et la stabilité en Côte-d’Ivoire.

Car les Ivoiriens ne veulent plus vivre 24 décembre 99, ni le 11Avril 2011 pas plus que novembre 2020.

Il y’a si peu, c’était les menaces et intimidations qui avaient le droit de cité.

Nous sommes des fiers Ivoiriens donc , des frères que le pays appelle pour son développement dans la sérénité , la sincérité et dans L’amour de tous les enfants de Côte-d’Ivoire.
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Que les pages sombres ne soient qu’un lointain souvenir pour notre résilience dans l’histoire de notre chère Côte-d’Ivoire..

C’est la customisation d’une vision plus éclairée et affirmée dans la sincérité,e c’est cela qui doit être inclusive sans acrimonie ni rejet de l’autre pour la cohésion et la concorde, dans la quête d’une paix durable avec tous les enfants du pays.

Il y’a des mesures courageuses à prendre pour sécuriser tout le monde, et mettre chacun en confiance, où l’homme , au cœur de toute action , redevient le maître de l’argent en Côte-d’Ivoire, et non le contraire.

Mettre fin à la politique du ventre pour de la politique de conviction.

Des mesures phares au nombre desquels, le retour du premier ministre SORO, le ministre Blé Goudé, ensuite, l’effacement des condamnations des hommes politiques , il faut une amnistie générale, les questions électorales telles que la révision consensuelle de la liste, le redecoupage , la refonte des institutions concernant ou en charge des élections, le respect de nos lois et surtout la fondamentale.

La création d’une armée républicaine au service de la république.
L’état de droit et de la démocratie participative active.

Les périodes des élections doivent êtres conviviales et fraternelles et non conflictuelles.

Nous devrions rester des adversaires politiques pour nourrir la vitalité de la démocratie et non des ennemis jurés, synonymes de violences et d’angoisses entraînant la désolation et le désastre.

La Côte-d’Ivoire qui nous unit, est plus importante que nos petites divergences de vue , voire visions politiques.

Aucune idéologie ne doit entraver la bonne marche de la démocratie pour le bonheur de tous .

Un programme de société ne doit pas se faire contre le peuple, mais, avec le peuple pour le bien être de celui-ci.

Notre lien unique la Côte-d’Ivoire, est la principale de l’angle; c’est ce qui doit nous guider ou conduire pour enfin nous unir.

Prenons conscience du fait que la vie en bonne intelligence, vaut mieux que la violence qui déconstruit donc détruit.

C’est ce qui est à retenir.

Voilà pourquoi, il convient de rassurer tout le monde dans la sincérité et d’affirmer une volonté politique active , manifeste et forte dans L’amour pour tous, et pour la patrie de la vraie fraternité.

Ensemble , notre détermination sauvera notre belle Côte-d’Ivoire.

On ne nous demande pas de miracle.

On désire seulement que nous laissions une bonne base d’action et d’actes politiques après nous, afin , que la nation reconnaissante, inscrive nos noms en lettres d’or sur le fronton du panthéon Côte-d’Ivoire., pour la génération future, comme nos parents l’ont fait pour nous et que nous revendiquons avec beaucoup de fierté.

Il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Il est même un impératif de se rendre à l’évidence que pour bâtir la patrie de la vraie fraternité, il faut faire des sacrifices ultimes et nécessaires pour le progrès de tous et le bonheur pour chacun.
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Car qui jamais ne tente l’impossible n’atteint jamais le possible.

Découragement n’est pas Ivoirien.
Allons résolument à la paix des braves sans condition, seul gage de la stabilité et de l’équité pour un monde meilleur.
Vive la Côte-d’Ivoire réconciliée apaisée et unie pour la paix et le vrai bonheur qu’on aurait jamais dû perdre.

Le comité de veille.

NK