Comment neutraliser le Covid-19 en Côte d'Ivoire et dans le Monde?: Appel aux peuples et aux dirigeants du Monde (Konan Kouadio Siméon KKS)

Chers compatriotes Ivoiriens,
Chers compatriotes Africains,
Chers contemporains du monde entier,

Depuis quelques mois, le monde entier, confronté à la virulence de la maladie à corona virus, COVID - 19, est en lutte pour la survie de l’humanité.En effet, annoncé pour la première fois à Wuhan dans la région du Hubei en Chine, le COVID-19 a atteint aujourd’hui la quasi-totalité des paysdu monde avec plus de 1 800 000 cas d’infection confirmés et plus de 114 000 décès.

Devant ces statistiques affolantes et cette course infernale du virus qui ne sont pas sans rappeler les pires épidémies de l’histoire de l’humanité, tous les citoyens du monde se mobilisent aux côtés de leurs gouvernants pour apporter la riposte appropriée. Malgré tout, la pandémie s’appesantit et les perspectives, aux dires des experts, sont des plus sombres.

L’on parle, si rien n’est fait, de la possible contamination de plus de la moitié de l’humanité pouvant causer des centaines de millions de morts avec, pour le seul continent africain, ‘’des dizaines et des dizaines de millions de morts’’ selon le Secrétaire Général de l’ONU.

Face à ces prédictions et prévisions apocalyptiques, il devient, ne serait-ce que par instinct de survie, un devoir pour chaque citoyen du monde, de s’investir corps et âme dans le combat contre le fléau.Aussi, convient-il de questionner la nature, le niveau et l’efficacité de la riposte à ce jour.

Toutes les dimensions de la ‘’nébuleuse’’ ont-t-elles été cernées et prises en compte dans les plans de riposte pour les rendre appropriés et efficaces ?
Si la source ou l’origine de la pandémie est connue, avons-nous cherché à en comprendre la cause ?

En quoi le protocole de traitement de cette pandémie diffère-t-il de ceux des précédentes pour espérer meilleurs résultats ?

OBSERVATIONS

En scrutant attentivement les plans de riposte dans tous les pays, l’on s’aperçoit qu’ils reposent tous sur cinq ordres de mesures :
1. Les mesures d’ordre préventif et sanitaire destinées à endiguer la pandémie, à savoir : le lavage des mains, le port de masque, la distanciation sociale, la mise en quarantaine, le confinement ;
2. Les mesures d’ordre purement technique, médical et paramédical destinées à dépister et à traiter les malades ;
3. Les mesures d’ordre scientifique destinées à la recherche du remède et/ou du vaccin ;
4. Les mesures d’ordre économique et financier destinées à financer d’une part les coûts des mesures sus-indiquées et leurs effets induits et, d’autre part, à soutenir les économies respectives ;
5. Enfin, les mesures de gouvernance générales destinées à accompagner tout le processus afin d’en garantir la légalité et la bonne exécution.
Force est de constater que nulle part, dans ces plans, il n’apparait aucune ligne de mesure d’ordre spirituel.

ANALYSE

Si nous pouvions remonter dans l’histoire des pandémies,aussi loin que la documentation nous le permette, nous comprendrions les raisons de ce mépris du spirituel, mais aussi et surtout, le pessimisme des scientifiques et le sens de leurs prévisions apocalyptiques.

En effet, depuis la PESTE D'ATHÈNES, première pandémie répertoriée de l'Histoire (en dehors de la bible bien entendu), quiaurait déciméun tiers de la population dela Grèce antique de 430 à 426 av. J.-C. jusqu’àla GRIPPE ESPAGNOLE de 1918 à 1919 qui aurait touché entre un quart et un tiers de la population mondiale, faisant entre 50 et 100 millions de victimes, en passant par La PESTE ANTONINE entre 166 et 169qui aurait frappé l'Empire romain et fait près de 10 millions de morts ;

La PESTE DE JUSTINIEN de 541 qui aurait fait environ 25 à 100 millions de victimes à travers le monde, soit un tiers de la population de l'époque, causantjusqu'à 10.000 morts par jour etla PESTE NOIRE de 1347 à 1353, qui aurait causé entre 25 à 34 millions de victimes en Europe,Le protocole de traitement des épidémies et pandémies est resté le même et n’a guèreévolué.Il repose essentiellement sur la méthodehippocratique et galienne de la quarantaine et de l’isolement du IV siècle avant Jésus Christ.Il s’ensuit que la position alarmiste des experts fait sens au regard de l’expérience, de l’histoire et de la vérité établie que les mêmes dispositions produisent toujours les mêmes effets.

C’est peut-être là le sens de l’élément de langage embouché en guise de bémol par tous les experts quand ils terminent toujours leur sombres prévisions par ‘’si rien n’est fait’’, en pensant certainement aux mesures barrières mais, sûrement et surtout, au remède. En d’autres termes, nos experts nous disent en substance,si un remède n’intervient pas rapidement, il faut s’attendre à un ravage de grande ampleur car les mesures barrières, aussi utiles qu’elles ont pu être pour limiter l’ampleur des dégâts, n’ont jamais pu empêcher, comme nous l’avons vu tout le long de l’histoire, le ravage.

Pire,les données nous donnent de faire le stupéfiant et effroyable constat que ces tueurs mystérieux et impénitentsqui poursuivent presque toujours impunément leur funeste besogne jusqu’à terme voulu, avant de s’offrir une pause pour ensuite réapparaitre par vagues successives quand ils le souhaitent puis, plus tard, pour narguer les scientifiquessous une autre forme, c’est à dire en prenant soin et le malin plaisir de se modifier leur ADN ou ARN pour mettre à l’eau tous les efforts de recherche scientifique ont, en réalité, été rarement vaincus.La preuve, c’est la PESTE NOIRE de 1347 qui est réapparue sous l’appellation de la GRIPPE ESPAGNOLE en 1918.

La fièvre jaune qui est apparue au Mexique, en 1648 est la même qui,après avoir touché le monde par vagues successives au XVIIe, XVIIIe, continue de tuer encore aujourd’hui en Amérique du sud, et en Afrique subsaharienne.La pandémie du Sida a débuté à Kinshasa dans les années 1920, avant de se propager dans le monde. Depuis 1981, le sida a fait plus de 35 millions de victimes.Il n'existe actuellement toujours aucun vaccin contre le VIH. Nous pouvons multiplier à souhait les exemples.Le moins que l’on puisse dire c’est que le pessimisme justifié et donc compréhensible des experts cache mal l’impuissance de la science devant un phénomène qui échappe manifestement à la conscience humaine depuis 24 siècle.

« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » disait François Rabelais.

Mais comment en sommes-nous arrivés à cette fatalité ?

Le récit de Thucydide, seul chroniqueur direct de la peste d'Athènes, nous en donne une idée :

« Je laisse à chacun - médecin ou profane - le soin de dire son opinion sur la maladie, en indiquant d'où elle pouvait vraisemblablement provenir, et les causes qui, à ses yeux, expliquent de façon satisfaisante ce bouleversement. Pour moi, je dirai comment cette maladie se présentait ; les signes à observer pour pouvoir le mieux, si jamais elle se reproduisait, profiter d'un savoir préalable et n'être pas devant l'inconnu ; voilà ce que j'exposerai - après avoir, en personne, souffert du mal, et avoir vu, en personne, d'autres gens atteints - »

Le récit prudent de Thucydide,rapportant les faits en se refusant d'expliquer la marche des évènements par les ‘’Dieux’’, écartant les mythes et tout ce qui était jugé ‘’irrationnel’’, pour chercher à comprendre le déroulement des faits, par des explications ou des causes rationnelles, renseigne sur le grand débat qui a dû secouer la société entre ceux qui prétendaient que tout malheur serait la conséquence d’une rupture de l’harmonie divine dans la société et les adeptes d’Hippocrate pour qui,la maladie est exclusivement un processus corporel sous influence combinée de facteurs environnementaux extérieurs (air, eaux, lieux), de l'alimentation et des habitudes de vie.

Naturellement, la thèse du grand médecin de l’antiquité triompha et fait autorité jusqu’à nos jours, consacrant par la même occasion, la rupture du rationnel avec ‘’l’irrationnel’’, du visible avec l’invisible, de la matière avec l’Esprit, ou encore de la science avec le spirituel.

Mais près de 2 500 ans après, au 21e siècle, à l’heure de la neuroscience et de la physique quantique, la thèse d’Hippocrate d’appréhender la pandémie uniquement à l’aune de l’environnement matériel extérieur reste-t-elle vraie ? Alors que ces sciences nouvelles sont venues reconnaitre lesvéritéséternelles qu’enseignent tous les livres saints et notamment la bible, à savoir que :

1. Ce que nous expérimentons dans notre vie extérieure est plutôt la résultante de notre vie intérieure, c’est à dire de notre âme. En d’autres termes que notre vie n’est que le reflet de nos pensées ;
2. Nos croyances influencent notre réalité et donc le monde ;

Comment comprendre l’absence totale, et ce, unanimement à l’échelon mondiale, de la dimension spirituelle dans les plans de riposte contre le fléau qui menace l’humanité, une humanité de surcroit croyante dans sa très grande majorité ?L’humanité compte à ce jour plus de 95% d’hommes et de femmes qui croient en Dieu ou, en tout cas, à un être suprême, de même qu’au principe du châtiment divin et/ou de la causalité. Comment comprendre que dans un tel contexte, l’on ne songe pas à sonder les causes spirituelles du malheur ?

Au nom de quel principe, dans une guerre aussi vitale, devrait-on faire fi d’une arme aussi puissante et sûre que le spirituel pour s’abandonner à la seule merci d’une conscience humaine visiblement impuissante ?
Et si le malheur qui frappe le monde à travers le COVID - 19 était de motif spirituel ?
Et si cette situation était le reflet de nos pensées et de notre état d’âme ?
Quel est aujourd’hui l’état d’âme de l’humanité ?

Et si, en définitif, ce que nous vivons aujourd’hui était la conséquence quantique de la haine, de la méchanceté, de l’égoïsme, de l’inhumanisme, de l’immoralité et de l’amoralité de plus en plus croissants de l’humanité ?
Les nouvelles sciences ayant démontré au-delà de tout doute, contrairement à la science conventionnelle des Einstein et autres, la corrélation entre l’Esprit et la matière, et cela depuis le début du siècle dernier (1920), la recherche de solution à toute situation humaine impose à tous, croyants ou pas,d’adresser d’abord et avant tout, la cause spirituelle. Il s’en déduit que la solution pour neutraliser le COVID - 19 ne se trouve guère dans les laboratoires du monde où nous ne trouverons que de quoi traiter les symptômes, mais plutôt, dans ceux de notre Esprit et de notre âme, là où se trouvent ensemencée la racine du mal.

RECOMMANDATIONS

En dehors des mesures d’ordre sanitaire, médical, technique, scientifique, économique, sociale et financier qui sont à saluer et à encourager, il est indispensable d’ajouter le fondamental socle des dispositions spirituelles. Cela est possible sans porter atteinte aux principes de laïcité qui, du reste, consacrent eux-mêmes la liberté de conscience et de culte et non leur négation. Cela dit, il est fondamental d’éviter l’amalgame entre religion et spiritualité. La présente approche et les recommandations qui suivent sont, vous l’aurez compris, spirituelles, laïques et s’adressent à toutes les femmes et à tous les hommes de la terre.
Mesure générale : Appel de tous les peuples de la terre et de tous les Chefs d’Etat à la repentance

Que tous les peuples de la terre sous la houlette de leurs dirigeants,

1. s’humilient en acceptant de faire une introspection profonde, un examen de conscience et d’âme pour reconnaitre et regretter leurspèches ;
2. prient et cherche la facede leur créateur en remplissant leur cœur d’amour, de compassion, de joie, de paix, de patience, de bonté, de bienveillance, de fidélité et de gratitude ;
3. et se détournent de leurs mauvaises voies en déracinant de leur cœur, les mauvaises pensées, la méchanceté, la haine, l’immoralité, l’amoralité, l’inhumanisme, les meurtres, les calomnies,les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, …

Quelle onde de choc mais quel acte d’humilité et de contrition serait-ce de voir Elisabeth II, la reine d’Angleterre, Donald Trump, le président des Etats Unis d’Amérique et tous les autres potentats et chefs d’Etat de ce monde, s’humiliant et demandant pardon pour tout le mal(les actes inhumains, immoraux et amoraux) commis ou encouragé par eux-mêmes et/ou leur pays respectifs !
Mesures spécifiques

Organiser à l’échelon de chaque pays, une chaine de prières et d’intercession avec mise en place d’un dispositif de cellules énergétiques agissant judicieusement pour la neutralisation du COVID – 19.

CONCLUSION

Oui, dans la création (l’univers), tout existe entant que possibilité quantique, Il existe le bien et il existe le mal. Mais la bonne nouvelle est que le créateur a doté la créature du pouvoir de triompher du mal et de créer le bien. Usons-en pour neutraliser le COVID 19. Et ce, sans préjudice des mesures barrières et d’hygiène édictées par les autorités. La règle d’or devenant alors :

1. REPENTEZ VOUS

2. SANCTIFIEZ VOTRE CŒUR

3. LAVEZ-VOUS LES MAINS REGULIEREMENT

4. OBSERVER LA DISTANCIATION SOCIALE D’1 M

5. PORTEZ VOTRE MASQUE

6. OBEISSEZ A TOUTES MESURES EDICTEES PAR LES AUTORITES

7. CROYEZ QUE VOUS NE SEREZ PAS ATTEINTS PAR LE COVID-19 ET VOUS NE SEREZ PAS ATTEINTS
LE TEMPS EST VENU DE RENOUER LA CONNECTION AVEC LA SOURCE (DIEU), NOTRE POUVOIR INFINI !

Fait à Abidjan, le 12 avril 2020

Konan Kouadio Siméon (KKS)