Côte d'Ivoire: "Alassane Dramane Ouattara et l'exportation du terrorisme", Par Sylvain de Bogou

Par IvoireBusiness - "Alassane Dramane Ouattara et l'exportation du terrorisme", Par Sylvain de Bogou.

Alassane Dramane Ouattara et les chefs de guerre des Forces nouvelles muées en FRCI, lors de leur siège à l'hôtel du Golf durant la crise postélectorale de 2011.

Que ceux qui se réjouissent de la tentative de meurtre sur la personne de Sieur Johnny Patcheko Antonio, continuent de le faire. Un fait s’impose aux yeux du monde entier; Alassane Dramane Ouattara exporte le terrorisme au même titre que tous ceux que les Occidentaux et les Américains déclarent « wanted » ou « persona non grata ».
Dans un monde où les concepts juridiques changent au rythme de la vitesse du son et selon l’humeur des Occidentaux ; la tentative de meurtre qui pointe le doigt en direction d’un gang financé par le bras-droit d’Alassane Dramane Ouattara : Hamed Bakayoko, tombe inéluctablement sous le coup de la coaction ou co-culpabilité indirecte (voir Président L. Gbagbo Vs. CPI). Si la Cour Pénale Internationale était sérieuse dans l’application du droit, Alassane Dramane Ouattara et tous ses suiveurs seraient depuis septembre 2002 dans des prisons fermées à double tour. Mais que constatons-nous? Alassane Dramane Ouattara et sa suite assassinent quotidiennement des Ivoiriens et continuent de narguer les survivants. Les enfants armés par Alassane Dramane Ouattara lors des rebellions dont il est le père, mettent aujourd’hui en déroute toute mesure de sécurité. Ces gamins et leurs mentors appelés « Microbes » ont été utilisés par Alassane Dramane Ouattara pour assassiner des corps habillés durant la guerre Dramano-Sakosienne contre le pouvoir du président Laurent Gbagbo. Ils ont été utilisés comme d’autres enfants sont utilisés en Afghanistan et en Irak pour tuer des innocents par dizaines chaque semaine.
Alassane Dramane Ouattara est un terroriste qui doit être arrêté et jeté en prison. En Europe, nos contacts parlent de l’existence de cellules de tueurs à gage financés et mis en place par Hamed Bakayoko. La tête de la cellule d’Angleterre s’appellerait « AFAKAYA ». Il nous est parvenu que Hamed Bakayoko, suite à la fuite des informations qui le désignent comme l’instigateur principal derrière la tentative de meurtre contre le patriote Johnny Patcheko Antonio, a carrément abandonné son idée de venir à Londres pour donner « des instructions fermes et claires » au noyau anglais des tueurs nourris par le dictateur Alassane Dramane Ouattara. Avec le sérieux du travail des agents anglais contre le terrorisme, Hamed Bakayoko qui se définit comme le dauphin d’Alassane Dramane Ouattara, a simplement pris ses jambes à son cou sans oublier sa queue collée entre ses jambes pour retourner au bord de la Lagune Ebrié où nous dit-on, devrait rendre des comptes à son patron par rapport au « fiasco » de Paris.
Le meurtre raté contre Johnny P. Antonio, est un acte prémédité. L’élimination de celui-ci et de ses amis de la Djossi Gang puis d’autres opposants à la dictature de Dramane est un plan qui est bien documenté dans les médias et ailleurs. Que la France agisse pour arrêter le sieur Taliban Choco qui est un ami personnel de Hamed Bakayoko, le Sieur Momo Lapache et Assane Coulibaly qui a demandé au gang dirigé par Taliban d’assassiner Johnny Patcheko. Il faut noter que le pseudo producteur-reporter Assane Coulibaly, selon nos oreilles, est le messager à la fois d’Alassane Dramane Ouattara et de Hamed Bakayoko pour « les sales affaires ».

Une contribution de Sylvain De Bogou