La Côte d’Ivoire aux mains des francs-maçons : voici les preuves
Le 20 octobre 2011 par Correspondance particulière -L’opération «Adjanou» ou opération « purification » d’Abidjan
Le 20 octobre 2011 par Correspondance particulière -L’opération «Adjanou» ou opération « purification » d’Abidjan
Alassane Dramane Ouattara après son accession à la magistrature suprême grâce au coup d’Etat de la France contre le président Laurent Gbagbo a ordonné la démolition de tous les monuments construits sous le régime de ce dernier. Histoire de conjurer le mauvais sort qu’il a laissé sur la Côte d’ivoire après son départ, à travers ces monuments. Ainsi, le monument à l’entrée de l’aéroport international Félix Houphouët Boigny formé de deux éléphants dont les trompes formaient deux arcs de triomphe et qui accueillait le visiteur se rendant pour la première fois dans notre pays a été déboulonné. Selon l’un des conseillers d’ADO, sous cette statue, seraient enterrés des ossements humains qui envoûteraient le visiteur qui passerait en dessous et aussi le président Laurent Gbagbo aurait placé dans les trompes des éléphants un satellite qui lui donnerait une soi disant vue complète sur le 43ème Bima. (La statue AKWABA construite sous le président Bédié a été royalement ignorée). Même, l’accident meurtrier du bus 19 de la Sotra le vendredi 05 août 2011 sur le pont FHB (Félix Houphouët Boigny) a été attribué au président Laurent Gbagbo.
Ridicule quand tu nous tiens
Pour « désenvoûter » la Côte d’Ivoire, le président Alassane Dramane Ouattara n’a pas cherché midi à quatorze heures. Il lui fallait détruire tous les monuments et le tour est joué. Ainsi, la statue de la Liberté à Yopougon Siporex (Cette statue serait une sirène des eaux), la statue de l’apôtre St Jean à Cocody, les deux éléphants de bronze en face de la cathédrale, toutes les statues de Félix Houphouët Boigny à Adjamé, le monument aux martyrs, la statue du carrefour Cocody, rien n’a échappé au « bulldozer » d’ADO. Depuis, Abidjan a été « purifié » de ces monuments maléfiques.
Laurent Gbagbo « marabout » ?
Le président Laurent Gbagbo n’a jamais fait mystère de sa chrétienneté. Tout le monde le sait. Depuis son enfance, il fut élevé dans la ferveur chrétienne. Il fut pensionnaire du petit séminaire St Dominique Savio de gagnoa. Quand à sa femme, elle fut responsable de la branche féminine de la JEC (Jeunesse estudiantine Catholique) au Lycée Classique d’Abidjan. Le couple va prendre ses distances avec la religion catholique à partir des années 2000 pour devenir évangélique. Fervent croyant, il s’adonne à des exercices de piété hors du commun (jeun régulier et long). Il est assidu à la lecture et à l’étude de la Bible. Il honore le jour du Seigneur par un culte régulier comme le recommande la Bible. C’est cet homme que Alassane Dramane Ouattara et sa clique traitent de « marabout » sur la chaîne d’Etat dont ils ont le monopole pour y avoir nommer un patin après avoir dégommer un autre qui lui avait refusé le « feu » des caméras. De manière méthodique, nous allons montrer aux ivoiriens qu’il n’y a pas plus féticheur que Alassane Dramane Ouattara. Il accuse les autres de ce que lui même se prépare à faire.
Les francs-maçons de Sarkozy
Les francs-maçons ? Ils sont partout, jusqu’au coeur de l’Etat. C’est en tout cas la conclusion de Sophie Coignard, journaliste au Point (journal français). Dans un livre extrêmement documenté, elle met en lumière le rôle de cette confrérie mystique. Selon elle, les francs-maçons exercent une influence prépondérante, voire croissante, en particulier dans les sphères publiques et économiques ; gouvernement, administration, entreprises, banques, rares sont les secteurs où ils ne sont pas présents. « Tandis que l’autorité de l’Etat tombe en lambeaux, que les corps intermédiaires n’existent plus, que la notion de service public a perdu de son sens, les francs-maçons, ou du moins certains d’entre eux, deviennent des médiateurs, des facilitateurs, voire des décideurs. Progressivement, ils ont donc reconstitué un Etat dans l’Etat. »
Sophie Coignard nous fait ainsi découvrir tout au long de son livre les dessous de nombre de nominations ou d’opérations menées par ces derniers. Elle fait remarquer dans son livre que même si d’autres puissants lobbys ont partout leur mot à dire, les francs-maçons auront réussi le tour de force d’être à la fois le plus ancien et le plus secret des réseaux. Son mystère a fait sa force.
Extraits : « Un Etat dans l’Etat », de Sophie Coignard (Albin Michel, 336 pages, 20e)
« Même s’il avait voulu, il n’aurait jamais tenu ! » s’amuse un de ses plus anciens amis, selon lequel Nicolas Sarkozy nourrit une incompatibilité quasi physiologique avec le statut de franc-maçon. « Vous l’imaginez demeurer pendant un an, à raison de deux réunions par mois, au milieu d’une assemblée où il est tenu au silence le plus absolu ? » Le vœu provisoire de silence en loge s’applique en effet à tous les nouveaux venus, à l’exception de quelques chefs d’Etat africains auxquels la GLNF (Grande Loge Nationale de France) offre une formation accélérée. A ces rares exceptions près, il fait partie des exigences non négociables de l’initiation.
Pendant sa traversée du désert, après la défaite d’Edouard Balladur, Nicolas Sarkozy a fréquenté, comme intervenant extérieur, plusieurs loges de Neuilly dont La Lumière (C’est là qu’il rencontre Alassane qui était déjà membre de cette loge.), celle de l’ancien sénateur Henri Caillavet, une des figures les plus marquantes du Grand Orient. Certains croient se souvenir de quelques appels du pied du maire de Neuilly, redevenu avocat, après la répudiation chiraquienne, pour approfondir les relations et aller plus loin si affinités. Ils assurent ne pas avoir donné suite, car Nicolas Sarkozy, déjà à l’époque, n’avait pas le profil pour recevoir la lumière. Il n’est pas interdit de voir dans cette évocation une sorte de rêve rétrospectif. Cependant, à défaut d’avoir expérimenté personnellement le cabinet de réflexion (le lieu où se déroule une partie du processus d’initiation du profane dans la franc-maçonnerie) préalable au passage « sous le bandeau », Sarkozy sait appliquer aux frères le traitement « segmenté » qu’il réserve à toutes les « communautés ». Cette vision de la société, où l’on ne s’adresse pas à l’ensemble des citoyens mais à chacun de ses sous-ensembles, marque très fortement sa communication avec les maçons.
Un paraphe à trois points.
En 1996, à l’époque de sa disgrâce, personne ne s’intéresse vraiment à son sort. Mais quelques-uns de ses confrères avocats sont assez intrigués. Certains parlent beaucoup entre eux de courriers qu’ils ont reçus et au bas desquels la signature de Me Sarkozy est très nettement agrémentée de trois points. L’histoire court dans Paris, où plus d’un analyste des réputations se répand sur une appartenance certaine à la grande confrérie.
Le temps passe. Le maire de Neuilly gravit un à un les échelons qui le mènent, en 2002, au ministère de l’Intérieur. [...] Et voilà que les trois points de sa signature, dont personne ne parlait plus depuis des années, redeviennent un sujet de conversation.
Peu de temps avant de quitter la Place Beauvau, Nicolas Sarkozy doit faire face à la grogne des syndicats policiers, las de devoir intervenir en banlieue sans avoir toujours le sentiment d’être soutenus par le gouvernement. Sans se faire prier, le ministre écrit à plusieurs patrons de syndicats, notamment au secrétaire général d’Alliance, classé à droite, pour les assurer que tout le ministère est derrière eux dans les opérations de maintien de l’ordre souvent difficiles qu’ils ont à mener. En dessous de sa signature : trois points très ostensiblement dessinés en triangle. (C’est ce triangle qui constitue la « toiture » de la « case » symbole du RDR)
Le président a d’ailleurs côtoyé intimement des frères dès le berceau politique. Son parrain, l’ancien maire de Neuilly Achille Peretti, auquel il a succédé à la hussarde en 1983, était à la GLNF, que l’on appelait alors « Bineau », car son siège était situé boulevard Bineau, à Neuilly, justement. Si l’on récapitule, les frères ont jalonné le parcours du président et sont encore nombreux autour de lui : dans le premier cercle, si l’on excepte Patrick Balkany, qui assure ne pas être concerné, on compte Brice Hortefeux, Christian Estrosi et bien sûr Xavier Bertrand, qui a montré, en révélant son appartenance au Grand Orient dans L’Express, en 2008.
Au total, les instances dirigeantes de l’UMP comme le gouvernement comptent donc dans leurs rangs quelques personnalités formées dans les colonnes du temple.
Le cabinet du président de la République aussi compte plusieurs personnalités qui ont fréquenté les loges, à commencer par son plus proche collaborateur, le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant (aujourd’hui, ministre de l’Intérieur auprès duquel Hamed Bakayoko prend conseil). On n’a pas non plus vu depuis longtemps dans les couloirs de la GLNF Pierre Charon, surnommé le conseiller « rire et chansons » du président, chargé de mille choses, des contacts avec le show-business au chaperonnage de Carla (femme de Nicolas Sarkozy) en passant par la surveillance à distance de la villa de Christian Clavier en Corse.
Un grand maître à l’Elysée
Avant même de devenir président et de pratiquer l’ouverture politique, Nicolas Sarkozy s’est rapproché d’un franc-maçon venu de la gauche. Elu grand maître du Grand Orient à 38 ans, en 2000, Alain Bauer cumule plusieurs vies (…). Au printemps 2006, Nicolas Sarkozy lui demande de dresser une liste de grands maîtres qu’il pourrait inviter Place Beauvau. Au cours d’une de leurs rencontres, à l’été 2006, il est surtout question de sécurité. Mais Bauer finit par apostropher le candidat à la présidentielle d’une façon assez « gonflée » : « Tu souffres d’un grave problème structurel. Tu penses que la République est comme une grande commode dans laquelle il y aurait plein de tiroirs que l’on ouvrirait les uns après les autres pour gérer le contenu de chacun. Tu as une image de libéral qui donne l’impression de ne pas être républicain. Personne d’autre parmi les candidats, pas même ceux d’extrême gauche, n’est susceptible comme toi d’être l’objet d’un procès en antirépublicanisme. Si tu continues, tu vas faire une campagne à cloche-pied. ». Sarko commence par s’agiter, signe d’agacement lorsqu’il entend ce diagnostic. Puis un grand silence s’installe dans le bureau, avant qu’il concède : « Tu as raison. » (…). Alain Bauer s’empresse de rédiger quelques feuillets où il invoque le drapeau, Valmy, Jaurès et Blum. Il l’envoie au ministre de l’Intérieur qui doit s’envoler pour Marseille, où il doit prononcer durant le premier week-end de septembre un grand discours de rentrée à l’occasion de l’université d’été des Jeunes populaires. Par curiosité, Alain Bauer écoute la radio le 3 septembre pour savoir si son nouveau champion a tenu compte de ses conseils. Et là, ses espoirs les plus fous sont dépassés. Il retrouve des passages entiers de la note qu’il a envoyée au candidat. Extraits : « Quand Jaurès disait aux lycéens : "Il faut que, par un surcroît d’efforts et par l’exaltation de toutes vos passions nobles, vous amassiez en votre âme des trésors inviolables", c’était le contraire du nivellement prôné par la gauche d’aujourd’hui. [...] . » Puis, dans une très longue tirade, le mot République revient plusieurs fois par phrase - il sera prononcé plus de vingt fois par le candidat, avec notamment cette apostrophe : « Jeunes Français, la République est à vous. La République, c’est vous. ». Le ministre de l’Intérieur lui demande une trame de discours pour sa visite à Périgueux, la ville de Xavier Darcos, le 12 octobre. Sur cette terre maçonnique, le candidat prononcera un discours intitulé « Notre République ». Alain Bauer l’a truffé de références à Eugène Le Roy, écrivain, franc-maçon et auteur du célèbre « Jacquou le Croquant ». Il a mobilisé toutes les ressources du Grand Orient pour le nourrir et a même mis à contribution le directeur de la bibliothèque de l’obédience.
Présidentielle : jamais sans mes frères
« C’est la première fois dans l’histoire de la Ve République que les deux principaux candidats ont autant de francs-maçons dans leur entourage le plus proche », se réjouit Pierre Mollier, directeur de la bibliothèque et du musée de la Franc-maçonnerie au Grand Orient de France pendant la campagne présidentielle. . [...]. Mais s’il se montre si satisfait, c’est que même dans l’entourage de Nicolas Sarkozy on trouve des frères du GO, traditionnellement ancrés plutôt à gauche. [...] Côté Ségolène, l’un de ses soutiens de la première heure a été le sénateur maire de Lyon Gérard Colomb [...] Le codirecteur de campagne François Rebsamen [...] a conservé un réseau très vivace au sein des loges ; tout comme le Marseillais Patrick Mennucci [...] Sans ce maillage, le ralliement de Jack Lang à la présidente de Poitou-Charentes n’aurait pas été aussi rapide. [...]»
Les francs-maçons d’Alassane Dramane Ouattara
Alassane a voulu s’en cacher le voilà aujourd’hui découvert. Le président Alassane Dramane Ouattara a avoué qu’il est bouddhiste dans son PAD (prêt à diffuser) lors de la campagne électorale de 2010. Ce qui est archifaux. ADO et toute sa clique sont francs-maçons. Les preuves pour étayer nos propos existent. Soro vient de faire son initiation à la franc-maçonnerie au Burkina-Faso par Djibril Bassolé (son parrain), ministre des Affaires Etrangères de ce pays sous le regard bien veillant de Hamed Bakayoko lui-même « frère de lumière ». (La lettre du continent N° 615 du 07/07/11). Selon ce canard en ligne français, la franc-maçonnerie est une véritable marque de fabrique du gouvernement ivoirien. Le beau père de Hamed Bakayoko ( il est marié à Yolande Tanoh) Emmanuel Kouadio Tanoh, ancien bâtonnier de l’ordre des avocats, est le haut dignitaire de la Grande loge de Côte d’Ivoire (GLCI) et proche d’Alassane Ouattara. (La Lettre du continent N° 618 du 08/09/2011). Henriette Diabaté, notre chancelière, Adama Bictogo, Amon Tano Marcel, Amadou Gon, Amadou Soumahoro, Sidiki Konaté, les chefs rebelles etc. tous sont dans la loge. Au-delà des preuves écrites (articles de journaux), il existe des preuves visuelles (vidéos, photos etc.).
Par exemple sur la photo ci-dessous, nous voyons le ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko dans ses apparats de franc-maçon, assis parmi les hauts dignitaires de la loge à la cérémonie d’intronisation du président gabonais Ali Bongo.
La vidéo de la cérémonie complète est disponible sur youtube. Il suffit de taper dans la barre de recherche de youtube : «Cérémonie d’intronisation de Ali bongo» ou «Hamed Bakayoko franc-maçon ». Sur cette même vidéo, l’on peut également voir la fameuse cérémonie de « passage sous le bandeau» que fit Nicolas Sarkozy dans le livre Sophie Coignard. Le rituel est incompatible avec les préceptes de la religion chrétienne ou musulmane.
Sur la photo 2, c’est le ministre des affaires Etrangères du Burkina Faso, Djibril Bassolé saluant le Grand Maître de la Loge Française François Stifani. La main sous la gorge est le geste de salutation dans la franc-maçonnerie. Il signifie « Que je sois égorgé si je trahis mon serment ». Le nouveau « illuminé » lors de sa prestation de serment prononce des phrases à couper le souffle. Comme par exemple : « Je prends l’engagement de remplir mes devoirs vis-à-vis de la franc-maçonnerie (…). Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour servir les intérêts de la franc-maçonnerie (…) ».
Quels sont ces devoirs et ces intérêts que « l’initié » doit remplir et servir ? Mystère et boule de gomme. Certains parlent de sacrifices humains, breuvage de sang humain, pillage des ressources des Etats etc. Nous n’avons pas pu avoir d’éléments d’information sur cette affirmation donc difficile de la corroborer. Tout comme Sarko, l’entourage d’ADO est constitué de «frères formées dans les colonnes du temple». C’est cette confrérie de sorciers qui accusent le président Laurent Gbagbo.
ADO et la loge Lumière de Neuilly au pouvoir
Le président ivoirien et le président français se sont rencontrés pendant que le dernier cité était intervenant extérieur à la loge Lumière de Neuilly où ADO était déjà membre. Nicolas Sarkozy y fait son entrée avec pour parrain l’ancien maire de Neuilly Achille Peretti, auquel il va succéder. La solidarité est la première vertu des maçonniques. C’est qui explique l’engagement du président français aux côtés d’Alassane Dramane Ouattara dans sa guerre contre les ivoiriens et de tous les « frères » de la loge autour de ce dernier. On peut citer par exemple son conseiller des questions économiques Philippe Serey-Eiffel, né le 13 juin 1953 à Neuilly-sur-Seine, sa conseillère en communication Anne Meaux née le 7 juillet 1954 à Neuilly-sur-Seine. Du général Claude Reglat, son Chef d’Etat major en passant par Antoine Cesaréo son officieux ministre des Affaires Etrangères à Frederic Bedin PDG de Public Système, tous des sont des « frères illuminés ».
ADO et les discours «copier- prononcer»
Les discours du chef de l’Etat lui sont faxés. Son discours prononcé lors son investiture est le même en grande partie que le premier discours prononcé par Nicolas Sarkozy après son élection et d’autres discours recoupés. Comme l’a révélé Sophie Coignard dans son livre, Alain Bauer rédigeait les discours de Sarkozy dans les lesquels il invoquait la République, le drapeau ou souvent le truffait de références à Eugène Le Roy, écrivain, franc-maçon et auteur du célèbre « Jacquou le Croquant ». ADO s’est aussi inspiré de ceux Nicolas Sarkozy.
Extraits des discours:
Discours de Nicolas Sarkozy : « Mes chers compatriotes, (…) Je veux leur dire qu'ils m'ont fait le plus grand honneur qui soit à mes yeux en me jugeant digne de présider aux destinées de la France. Ma pensée va à tous ceux qui m'ont accompagné dans cette campagne et qui m'ont témoigné leur confiance.
(…) Je veux leur dire que je serai le Président de tous les Français.
(…) J'appelle tous les Français à s'unir à moi pour que la France se remette en mouvement.
(…) Je veux leur dire que ce soir, ce n'est pas la victoire d'une France contre une autre. Il n'y a pour moi ce soir qu'une seule victoire, celle de la démocratie.
(…) Nous allons écrire ensemble une nouvelle page de notre histoire.
Vive la République !
Vive la France !
Discours d’ADO : « (…) Mes chers compatriotes, (…) Oui, ce jour est pour tous les Ivoiriens, le début d’une ère qui marque notre volonté commune d’écrire une nouvelle page de l’histoire de notre pays.
(…) Elle s’est achevée par la victoire de la démocratie. (…) J’exprime mon infinie gratitude au peuple ivoirien qui m’a choisi pour présider à ses destinées.
(…) Je remercie tous les militants qui m’ont accompagné durant des années, dans les bons comme dans les mauvais moments, et qui ont toujours cru en moi.
(…) Célébrons à travers la cérémonie d’aujourd’hui, non pas la victoire d’un camp sur l’autre.
(…) J’invite donc l’ensemble de mes compatriotes à prendre avec moi l’engagement que la Côte d’Ivoire retrouvera bientôt toute sa place dans le concert des Nations.
(…) Respectons notre drapeau, symbole vivant de la patrie. Il porte les couleurs de notre terre, de nos forêts, il symbolise notre idéal de paix et notre espérance en un avenir meilleur.
(…) A tous les fils et les filles de ce pays, et à tous ceux qui vivent sur notre sol (…)
(…) Je veux renouveler mon serment d’être le Président de tous les ivoiriens.
Vive la République,
Vive la Côte d’Ivoire !
Une Contribution de Charles Tiekpo